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Article mis à jour le 14 Avr 2016


Monter le volume de la radio, baisser la vitre pour prendre un grand bol d’air frais, boire un café bien serré ou une boisson énergisante… ne suffira jamais à chasser la fatigue qui assaille le conducteur en manque de sommeil.

visu-campagne_mediumLa seule attitude à adopter si l’on se sent fatigué au volant, c’est de s’arrêter… le temps de faire une petite sieste – ¼ d’heure de repos peut suffire ! – ou de passer le volant à un passager lui-même bien reposé.

C’est le message que tient à rappeler l’AWSR dans sa toute dernière campagne. En balayant ainsi la croyance illusoire d’une bonne partie  des conducteurs wallons, 40% d’entre eux selon l’étude menée par  l’AWSR en 2015, qu’une courte sieste ne serait pas un moyen efficace de lutter contre la somnolence au volant.

Panneaux le long des routes et autoroutes, messages dans les stations-service, sur des sets de table, à la radio, dépliants, cartes postales… la campagne se décline tous azimuts en Wallonie.

Somnolence au volant

La somnolence, état intermédiaire entre le sommeil et l’état de veille, peut avoir des origines diverses : déficit de sommeil, repas copieux, absorption d’alcool, de médicaments ou de stupéfiants ; elle peut aussi être liée à un problème de santé. Pour le conducteur, la pause est le seul moyen de remédier à ce phénomène d’assoupissement. A prévoir toutes les deux heures, voire moins si l’on se sent fatigué.

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Article publié le 5 février 2016