Pour David, l’équilibre entre travail et bénévolat est réussi
« Je me suis d’abord engagé pour une mission ponctuelle, une démarche encouragée par mon entreprise. Ça m’a bien plu et ça m’a donné envie de continuer ».
David, bénévole en Ile-de-France
Quand il s’est vu contraint de travailler à mi-temps pour des raisons de santé, David Henocque, 45 ans, chargé de projets informatiques chez Sage (1), a pris le parti d’assumer pleinement cette situation. Mieux. Il a réussi à trouver un équilibre. Essentiellement parce qu’il consacre une bonne partie de son temps libre à effectuer des missions de bénévolat. « La solidarité, le service à la personne, c’est vraiment important pour moi », livre David. Ce qui me tient à cœur, ce sont les sujets qui touchent à la santé. Par exemple, j’ai donné de mon temps pour des personnes aveugles ou malvoyantes, et pour des seniors ».
Et il est prêt à rejoindre notre équipe de bénévoles en région parisienne. Sa première expérience avec notre association remonte à l’automne dernier. Au Mondial de l’automobile, il a été de ceux qui ont animé notre stand. En accueillant quelques-uns des 3 500 visiteurs avec des réponses à leurs questions sur la prévention des risques routiers. Et en les faisant monter dans la « voiture-tonneau » pour qu’ils expérimentent – sans risque – l’efficacité de la ceinture de sécurité. A l’époque, David avait effectué cette mission de bénévolat dans le contexte de son activité professionnelle. En effet, par le biais de sa fondation, la Sage Foundation, l’entreprise Sage favorise la pratique du bénévolat auprès des associations, en fournissant un catalogue d’offres et en incitant les salariés à donner de leur temps ou de leur savoir-faire à l’occasion de certains événements.
« L’association Prévention Routière et le Mondial de l’Auto, ça m’a tout de suite parlé, se souvient David, parce que j’aime la voiture ! » Avant de passer deux demi-journées sur notre stand, il avait participé à la journée de briefing en compagnie d’autres bénévoles franciliens volontaires. « J’ai découvert une association que je connaissais mal… et j’ai d’abord appris à ne pas la confondre avec la Sécurité routière (2) », explique David. J’ai aussi appris plein d’autres choses ». Il reconnaît volontiers qu’il ne se savait pas aussi ignorant. « Je n’avais jamais fait attention à la façon dont ma ceinture était positionnée, par exemple », avoue-t-il. Et je ne me rendais pas compte à quel point la violence d’un choc augmente avec la vitesse. »
Satisfait de cet équilibre entre activité salariée et engagement bénévole, David entend poursuivre dans cette voie. Une démarche à la fois favorisée par son entreprise Sage qui valorise cet engagement citoyen pour une cause d’intérêt général, et accueillie très favorablement par notre association qui ne manque pas de missions ponctuelles à offrir aux bonnes volontés.
(1) Éditeur de logiciels au service de la gestion des entreprises
(2) La Sécurité Routière ou DSR (Délégation à la sécurité routière) est un organisme public qui dépend du ministère de l’Intérieur.